samedi 7 janvier 2012

Séance du vendredi 06 janvier 2012


Présentation des vœux.
Absents : Tartare Gaël et Mary Quentin.

Le devoir est relevé et corrigé.

L'unité structurale des êtres vivants est établie sur le fait que le tableau de comparaison montre qu'ils sont tous constitués de cellules, elles mêmes constituées de d'une membrane plasmique limitant leur cytoplasme dans lequel se trouve le matériel génétique.
Unité ne voulant pas dire uniformité car on distingue :
1.     Le type cellulaire des Procaryotes comme les bactéries dont le matériel génétique baigne directement dans le cytoplasme. De petite taille, 1µm, ils de possèdent pas d'organites, leur cellule n'est pas compartimentée.
2.     Le types cellulaire des Eucaryotes qui regroupent les champignons, les végétaux et les animaux. De taille plus importante, > 10 µm, ils possèdent un vrai noyau, des mitochondries et, pour certains végétaux des chloroplastes.
Cette diversité s'observe aussi chez les eucaryotes, ainsi la cellule des végétaux se différencie de la cellule des animaux par la présence d'une paroi cellulosique, d'une grande vacuole et parfois de chloroplastes.
            3- Recherche de parenté entre les êtres vivants.
Tous les êtres vivants sont apparentés par un ancêtre commun qui leur a transmis la structure cellulaire simple. Celle-ci n’a pas évoluée pour les bactéries qui appartiennent alors au groupe des Procaryotes. Les innovations génétiques du vrai noyau et de la mitochondrie seront transmises par un ancêtre commun qu'ils ne partagent pas avec les eucaryotes, aux seuls animaux, champignons et végétaux qui appartiennent alors au groupe des Eucaryotes. Les végétaux possèdent un ancêtre commun qui leur est propre qui leur a transmis les chloroplastes.
Un arbre traduisant les relations de parenté entre les êtres vivants est construit.
A cette unité structurale se rajoute l’unité de composition chimique reposant sur le partage des mêmes substances organiques.

Ces deux unités, structurale et de composition chimique s’explique donc par leur apparentement.

Chapitre III
Métabolisme, Information génétique et action du milieu de vie sur les êtres vivants.
Introduction.
Problématiques : On s'intéresse ici, après la structure de la cellule à son fonctionnement.
La définition du métabolisme est construite : ensemble des réactions biochimiques se déroulant dans la cellule qui lui permettent de vivre.

Les acquis du collège sont mobilisés afin de construire un schéma fonctionnel traduisant les fonctions vitales et les échanges que doit assurer la cellule pour vivre.


Nous voyons donc que la cellule ne peut vivre qu'en échangeant avec sont milieu de vie des nutriments et de l'O2 en les faisant rentrer dans son cytoplasme et du CO2 et des déchets qu'elle rejette (excrétion) dans son milieu de vie sous peine de s'empoisonner.

I- Les échanges entre la cellule et son milieu de vie.
Être vivant unicellulaire étudié : la levure, champignon eucaryote.
        A- Les échanges d’O2 et de CO2.
Ceux-ci seront mesurés grâce à un dispositif d'expérimentation par ordinateur qui comprend un capteur ou sonde sensible aux variations de la concentration en O2 et une sonde sensible aux variations de la concentration en CO2 dans le milieu de vie des levures.
Les levures en suspension sont viables dans le document 2.
Travail à faire pour :
1.     Le vendredi 13/01/12 : DST3 : Les révisions s'arrêtent ici.
2.     Le vendredi 20/01/12 Après avoir lu le document 1 du livre page 62, analyser et interpréter les variations de la concentration d'O2 et de CO2 dans le milieu de vie des levures.

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